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Vous ne nous séparerez pas

L’amour d’une mère et d’une fille plus fort que la barbarie et l’enfer nazis.

Pour ne jamais oublier !

Les notes des « Nocturnes » de Frédéric Chopin, m’ont accompagné à chaque mot, à chaque phrase de ce roman inspiré d’une histoire vraie, celle de Sarah et Maria.

A partir de 13 ans.

 

Vous êtes professeur.e.… d’Histoire, … de Français, … Documentaliste : je peux venir parler avec vos élèves de cette histoire, de cette période terrible de notre Histoire.

En attendant, ci-dessous, quelques réponses et l’avis de quelques-unes de vos collègues.

3 QUESTIONS À… RÉGIS DELPEUCH

Comment as-tu découvert l’histoire de Sarah et Maria ?

Depuis une dizaine d’années, j’ai le projet d’écrire sur trois tragédies de la Seconde Guerre mondiale : le massacre d’Oradour-sur-Glane, la rafle du Vél’ d’Hiv, et le camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau. Lors de ma visite au Cercil-Musée Mémorial des enfants du Vél’ d’Hiv d’Orléans, j’ai découvert le roman de Sarah Lichtsztejn-Montard à la librairie : Chassez les papillons noirs (Éd. Le Manuscrit, 2011). Elle y raconte le Vél’ d’Hiv et Auschwitz, en liant son vécu aux événements qui lui sont arrivés après son retour de déportation : son mariage, la naissance de ses enfants, la mort de son père puis de sa mère (Maria).

Pourquoi as-tu souhaité, à ton tour, raconter leur histoire ?

Sarah l’a écrite pour les adultes. Profondément touché par son récit, j’ai voulu le mettre à portée des collégien.ne.s et des lycéen.ne.s. La forme du roman s’est imposée à moi, tout comme sa narratrice : Sarah (14 ans en 1942, lors de la rafle du Vél’ d’Hiv). Je tenais à ce que les lecteur.trice.s plongent avec elle dans l’enfer nazi. Qu’ils/elles partagent ses émotions, ses peurs, ses angoisses mais aussi ses forces, ses espoirs, sa détermination et son indéfectible lien avec sa mère, qui leur permettront de survivre ensemble à la pire des barbaries.

Comment s’est déroulé le processus d’écriture ?

Après avoir contacté Sarah et obtenu son accord, je me suis plongé dans l’écriture. Son état de santé dans un premier temps, puis le confinement, ne m’ont pas permis de la rencontrer. J’ai donc « échangé » avec elle par l’intermédiaire de ses enfants, Laurent et Claire. Ils m’ont été d’une aide précieuse et ont été les garants des faits : dans ce roman, rien n’a été inventé, ni ajouté.

UN OUTIL PÉDAGOGIQUE PLÉBISCITÉ PAR LE CORPS ENSEIGNANT

Vous ne nous séparerez pas a été envoyé en avant-première à des enseignants et des professionnels du livre. Voici leurs retours :

« Quelle histoire bouleversante, incroyable, du même « tonneau » que Primo Levi… C’est fondamental que cela se sache et que la jeunesse d’aujourd’hui se rende compte. Merci d’en être un des vecteurs ! ». Virginie Briard, professeure d’Histoire

« En ces temps où les derniers témoins de la Shoah disparaissent, j’espère que cet ouvrage essentiel trouvera un public nombreux, sera saisi par les professeurs pour transmettre encore et toujours la vérité historique.» Nathalie Bercovici, professeure des écoles

« J’ai lu avec beaucoup d’émotion le récit de Sarah : L’espoir et l’adversité qui s’en dégagent, l’amour incommensurable d’une mère, l’innocence de la jeunesse confrontée à l’horreur… Ce qui m’a le plus frappé, c’est le récit de l’après, de l’indifférence au retour des déportés, ou pire… Et ça on en parle rarement. » Patricia Blanchout, libraire